Il est temps de retourner sur le continent sud américain, le vivier principal de beaucoup de joueurs Football Manager, et surtout de revenir sur celui qui avait le profil parfait pour chaque équipe.
Si la base de chaque bonne équipe est de savoir bien défendre avant d’attaquer, c’est en premier lieu les noms des buteurs que l’on retient. Ce n’est pas sans raison que les attaquants trop maladroits font souvent la une des médias, et que bien des équipes sont à la recherche du goleador qui saura enchaîner les buts sans froncer des sourcils. C’est pour cela qu’aujourd’hui on va parler de Gabriel Barbosa, aka Gabigoal, celui qui a su conquérir le Brésil et qui a tenté de faire le grand saut en Europe.
Sur Football Manager
Gabriel Barbosa, aka le Gabigoal était l’un des petits prodiges du Brésil, un attaquant du FC Santos sur lequel beaucoup misaient, ses stats sur FM16 faisaient de lui l’un des meilleurs Wonderkid. Un 15 en finition, en contrôle de balle, en passes, en détermination, en accélération, en agilité, et en vitesse, et un bon petit 16 en technique font de lui le futur Aguero du Brésil. Côté à 5,8 millions sur le FM16, il en vaut désormais 15 millions à seulement 24 ans.
Et en réalité
Véritable Golden Boy du Brésil, les espoirs étaient de mises sur l’enfant du FC Santos (57 buts en 157 matchs à un âge déjà bien précoce. Lorsque l’Inter Milan pose 30 millions d’euros, tout le monde pense qu’ils ont déniché la future méga star d’Europe, que néni (seulement 1 but en 10 match en Série A et 1 but en 5 matchs avec Benfica). Véritable flop européen, il est même élu pire transfert de Série A, ni une ni deux il s’envole de retour au pays, à commencer par Santos ou il plante à nouveau 27 buts en 53 matchs, puis à Flamengo pour un premier prêt 43 buts en 59 matchs. Il revient définitivement à Flamengo pour 17 000 000, soit la moitié de ce qu’avait déboursé l’Inter pour se le procurer, et à ce jour il culmine à 61 buts en 85 matchs, avec un palmarès national énorme (2 fois meilleur buteur, dans l’équipe type de l’année, une Copa Libertadores, deux supercoupes brésiliennes et deux championnats nationaux). Définitivement le boulet de l’Europe, et le héros du pays.
Laisser un commentaire Annuler la réponse.